mercredi 25 février 2009

Le théâtre

Srylvrain Mrartret est incroyable dans son rôle de type à mi-chemin entre la joie et le suicide. Olala ! Son monologue contre le travail m’a arraché les tripes, je veux dire vraiment, j’ai salopé tout le fauteuil, ça puait la merde, ma femme m’a dit que j’abusais et je lui ai dit « ta gueule ! Ta gueule sale pute ! Ferme ta gueule ! » Puis je l’ai attrapé par la nuque et j’ai collé son nez dans mes boyaux pour qu’elle comprenne. « Quand on se fait enculer par la moitié de la ville en fumant des gauloises on ferme sa gueule ! » voilà ce que je lui ai dis. Putain j’ai la rage. Sinon, vraiment une super pièce de théâtre. Dommage que j’aie plus de café. Oh dieu que j’ai besoin de café.